Aspect sanitaire des EnR sur les riverains de centrales éoliennes
Les maux sont bien connus : d’abord c’est le sommeil qui est perturbé, les maux de tête qu’aucun médicament ne guérit, puis viennent les nausées accompagnées d’un mouvement de panique, provoquant l’urgence de fuir, n’importe où, en n’importe quelle tenue, mais fuir le plus loin possible, comme dans le cas d’un tremblement de terre, d’une inondation, d’un incendie.
Question n° 429 de Ghislaine Siguier concernant l’aspect sanitaire des EnR sur les riverains de centrales éoliennes dans le débat sur la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) :
Au ministère de la Santé — À l’ADEME — À la DREAL — À l’ARS — À l’ANSES
Torture : souffrance morale ou physique intolérable. Tourment, supplice. Souffrance imposée, tenace, répétée.
La torture de tous temps a connu diverses métamorphoses. La plus anodine, la goutte d’eau tombant à intervalles réguliers était capable de venir à bout des plus coriaces. Une simple goutte d’eau, naturelle et inoffensive pouvait conduire à la folie.
Sachant que pendant la seconde guerre mondiale, les Allemands utilisaient les infrasons, les sons de basses fréquences pour torturer leur prisonniers, comment l’État français et les services sus-mentionnés, ont-ils pu omettre de se pencher sur la question des nuisances dites inaudibles des éoliennes à savoir les infrasons. (sans oublier les radiofréquences).
Les nuisances sonores étaient connues, puisque l’on savait qu’il fallait modifier la loi sur les émergences sonores pour que tout « rentre dans l’ordre » ! (triplement de la norme acceptable, de ce fait autorisée !).
Les nuisances infrasonores toutes aussi connues, ont été éludées au motif que : inaudibles ! Du moins prétendument tant que l’on ne cherchera pas à prouver le contraire.
Pourtant certains sujets y sont sensibles, et ce, où que ce soit dans le monde, sans qu’il puisse y avoir entente, conspiration.
Les maux sont bien connus : d’abord c’est le sommeil qui est perturbé, les maux de tête qu’aucun médicament ne guérit, puis viennent les nausées accompagnées d’un mouvement de panique, provoquant l’urgence de fuir, n’importe où, en n’importe quelle tenue, mais fuir le plus loin possible, comme dans le cas d’un tremblement de terre, d’une inondation, d’un incendie.
Puis viennent les oppressions, le cœur qui serre. Ensuite ce sont les vertiges, les jambes qui se dérobent soudain. Les chutes. Puis ce sont les vibrations.
Tous ces phénomènes peuvent coexister.
Dans les pays civilisés on nomme ces dysfonctionnements : le syndrome éolien.
Pas en France. On ne nomme pas. On ricane, on se gausse, on ironise ! (« Tiens, vous êtes une Jeanne d’Arc ! »).
On laisse les gens souffrir dans leur coin, sans aucune solution. Tout juste s’ils ne sont pas responsables ! C’est là que vous entendez le commentaire suivant : effet nocébo ! (oh que c’est pratique !) Et le chapitre est clos ! Ce n’est rien, ce n’est qu’une idée que ces gens entretiennent !
Mes questions sont les suivantes : les futurs riverains de centrales éoliennes ont-ils été avertis sérieusement de ces nuisances qui leur seront imposées ? (avec en simultané, l’information qu’ils seront spoliés et ruinés sur leur bien immobilier ?).
Dans le cas d’éoliennes tournant presque 100 % du temps (Enercon en particulier), quel temps de repos reste-t-il aux riverains ? Quid de la chronicité de ces effets sur leur santé ? (à calculer sur 20 ans - 24 h/24, 365 j/an ? En attendant bien sûr le Repowering qui leur apportera encore plus de nuisances sur un temps plus long encore !
Un travailleur (donc salarié) de l’éolien ne doit pas dépasser la "dose" de 8 h/j d’exposition.
Pourquoi les mesures de protection des uns (salariés je le répète) ne s’appliquent-elles pas aux riverains ? Arrêt des machines après 8 h de fonctionnement, arrêt du système d’alimentation en électricité et des radiofréquences ?
Où en est la reconnaissance de cette pathologie émergente ? Constatée par les médecins généralistes, mais impuissants à apporter le moindre remède ou autre conseil que : « Déménagez le plus vite et le plus loin possible. »
Pourquoi avoir placé ces machines aussi près des habitations ? Y a-t-il une intention malveillante ? Torture volontaire des populations ? S’agit-il de rendre ces gens rapidement malades ?
Une autre explication ne peut se concevoir lorsque l’on voit des champs à perte de vue, où ne poussent aucune de ces machineries inutiles à quoi que ce soit, coûteuses, laides, allant à l’encontre même de l’idée d’écologie : massacre de la faune aviaire (perte de biodiversité), enlaidissement des campagnes et pour boucler la boucle, ruine, spoliation et torture de l’Humain !