Christophe Grizart, Président de l’Association pour la sauvegarde de l’espace naturel de nos villages en Pays hamois (Asen) :

« On a choisi de vivre à la campagne et on a des difficultés aujourd’hui à la campagne. Pourquoi ? Parce qu’il y a des services publics qui sont en train de disparaître, des écoles ont tendance à se reconcentrer, quitter le village, les commerces ferment, les postes disparaissent. Le sevice public a tendance à disparaître.

Et aujourd’hui on veut nous priver de la seule chose qui nous reste, c’est l’espace. En fait, on choisit d’habiter à la campagne dans nos villages parce qu’il y a de l’espace. Aujourd’hui, notre horizon est en train de se verticaliser par cette prolifération d’éoliennes. »

Jacques Vanoye, maire (MoDem) d’Herbécourt :

« Je trouve lamentable de sacrifier des paysages pour de l’argent. »

Françoise Ragueneau, maire (DVG) de Quivières :

« Il faut aller un peu au delà de l’aspect économique et voir l’aspect écologique. »